L’assemblée générale 2025

COMPTE-RENDU

Cette assemblée générale a fait suite à la rencontre annuelle des membres des 2 et 3 mai 2025 sur le thème « À l’écoute de l’avenir ? ». Elle s’est tenue le 4 mai à Paris. Consacrée à l’évolution de la vie interne de la SAF, la rencontre était réservée aux seuls membres. Cinquante-cinq membres ont émargé et participé à l’ensemble des débats.

L’assemblée fut l’occasion de réfléchir à la nature et à l’avenir de la SAF. Lors des échanges, plusieurs membres partagèrent leurs visions en soulignant la nécessité d’une Société dynamique, tournée vers l’avenir et en constante évolution. Comme l’exprima Louis Defèche, il ne s’agit pas de s’appuyer sur une structure immuable, mais de créer une Société qui émerge de l’avenir, portée par une vision prospective. Cette idée d’une Société anthroposophique en France en mouvement, en constante évolution, fut un fil conducteur des interventions et échanges.

1. Rapport moral

Isabelle Dupin a proposé une image géométrique illustrant la dynamique du Comité : un pentagone symbolisant les cinq membres, inscrit dans un dodécaèdre évoquant l’unité du corps, de l’âme et de l’esprit. Loin d’être une forme fermée, ce pentagone est en mouvement. Il s’ouvre à la fois vers l’intérieur, pour un travail de fond sur la source commune, et vers l’extérieur, en direction du monde et de l’avenir. Chaque membre du Comité enrichit le collectif par sa singularité, favorisant passages et échanges entre les individualités venues d’univers et de courants différents. Cette image souligne l’importance d’une collaboration ouverte et diversifiée, au sein de laquelle les différences deviennent forces.

2. Rapport d’activité

Communication (Louis Defèche)

La communication a été un axe central des activités, avec deux priorités majeures : développement numérique et digital et valorisation des initiatives. Dans un monde en rapide évolution, la SAF cherche à s’adapter aux nouveaux usages numériques tout en restant fidèle à ses valeurs. Un espace membres numérique, sans limite de taille, a été mis en place avec l’aide de Jean-Benoît Kauffmann. Il offre un outil moderne pour les échanges et la collaboration. Ce développement s’accompagne d’un besoin de ressources, tant techniques qu’humaines, pour répondre aux attentes des membres recueillies lors des voyages et des rencontres.

Des évolutions sont en route, notamment grâce à la collaboration de Jean Pierre Ablard, qui traduit des textes anthroposophiques et contribue avec enthousiasme au développement des Nouvelles. Par ailleurs, porté par François Lusseyran et Antoine Dodrimont, un événement dédié à Jacques Lusseyran a rencontré un vif succès (communication ouverte, cinq articles publiés dans Æther, dont trois repris dans Das Goetheanum). Une version papier de ces textes est en préparation. Enfin, l’inauguration dans le local parisien de l’exposition Esquisses pour les peintres, accompagnée d’une conférence de Louis Defèche, a marqué l’ouverture de cet espace culturel.

Organisation et mode de travail du Comité (Isabelle Dupin)

Le Comité se réunit chaque lundi à 13 h en visioconférence, séance complétée par une rencontre mensuelle de trois jours, à Paris ou ailleurs. Ce rythme soutenu permet des prises de décision basées sur le consensus, chaque membre intégrant les idées des autres pour aboutir à des choix portés par tous. Ce fonctionnement est basé sur la reconnaissance mutuelle et l’écoute active des différences. C’est un mode de gouvernance efficace et inclusif.

Rôle et Missions (Olivier Coutris)

Olivier Coutris a questionné les termes traditionnels qui décrivent son rôle : le « secrétaire général » serait celui qui détient des « secrets », et à l’idée de « représenter » un pays, il préfère une posture de transmission et d’ouverture, en cohérence avec une Société ouverte. Il a partagé trois rencontres marquantes :

-          La dernière rencontre des « représentants de pays » a permis un changement de perspective, une prise de distance vis-à-vis d’une vision principalement anglo-saxonne et allemande, pour embrasser une approche plus diversifiée. Fait historique, lors de cette rencontre, les cinq continents étaient représentés pour la première fois.

-          Une journée de travail a réuni le Comité français et le Comité hollandais pour des échanges humains authentiques.

-          Une autre séquence de travail a réuni le Comité et les quatre prêtres de la Communauté des Chrétiens en France. Ouverte par une citation de Rudolf Steiner (GA 175, p. 69-70) sur les deux voies complémentaires que sont conscience (religion) et connaissance (science) de l’esprit, cette rencontre a posé les bases de futures collaborations.

Liens avec les organisations professionnelles (Jean-Philippe Aurand)

Jean-Philippe Aurand a mis l’accent sur le renforcement des liens avec les organisations professionnelles en s’inspirant de l’ouverture et du dynamisme des Hollandais. Ces collaborations visent à renouveler les forces vives, notamment face au déclin de certaines initiatives. Un outil associatif créé en collaboration avec la Fondation Paul Coroze et la SAF (API) pour la certification en pédagogie Steiner-Waldorf peut permettre par exemple à Didascali de retrouver son accréditation. En valorisant les compétences par des diplômes reconnus, cet outil pourrait également bénéficier à d’autres secteurs, comme la biodynamie

Jean-Philippe Aurand a également effectué plusieurs missions au Foyer Michaël, confronté à une pénurie de jeunes. Une rencontre avec la Communauté de communes a ouvert des perspectives de collaboration, notamment pour accompagner des personnes en situation difficile, offrant ainsi des opportunités d’emploi aux jeunes. Cet outil, accessible aux membres comme aux non-membres, vise à soutenir des initiatives concrètes. Par ailleurs, Jean-Philippe a repris le relais du groupe Beubois évoqué à Chatou en octobre et a commencé à rencontrer des organisations, par exemple Weleda France. Une initiative est ainsi née pour assurer la pérennité des Jardins, préservant un savoir-faire précieux.

Le siège (Isabelle Dupin)

Le siège de la SAF est un lieu vivant, animé par des personnes dévouées : Claudia Achour, Catherine Bernicchia, les artistes et intervenants, ainsi que celles et ceux qui organisent les activités culturelles. Un projet de partenariat associatif avec les artistes et intervenants dans les locaux est en cours, mais n’a pas encore abouti. Elio Pettinaroli organise des conférences et séminaires en lien avec le Comité, tandis qu’Inès Morrone est responsable des expositions, élément essentiel pour donner vie au siège. Lors de l’inauguration des Esquisses, un peintre du quartier a manifesté son intérêt, témoignant de l’impact de ces initiatives. L’accueil est assuré par Charles Galhargue le vendredi et Catherine Bernicchia, libérée le mercredi après-midi grâce à Raymond Burlotte (Triades). L’ouverture du samedi, initialement proposée à Jean-Benoît Kauffmann, est encore en attente et sera réenvisagée bientôt.

Université libre de science de l’esprit (Louis Defèche)

Louis Defèche a comparé l’Université Libre de Science de l’Esprit (ULSE) à une fleur, en soulignant son besoin de croître organiquement tout en s’appuyant sur des outils techniques. Des réflexions ont été menées avec François Lusseyran pour la développer en lien avec diverses initiatives et instances. La Commission Statuts s’est saisie de ce sujet, qui sera repris ultérieurement avec le Comité dans une démarche collaborative et prospective.

3. Rapport financier (Gabrielle Holder)

Le rapport financier reprend l’image d’une fleur : celle du tournesol portant le potentiel des graines pour l’avenir, soit, en 2023, un excédent de 13 000 € mis en compte de réserve pour assurer, le moment venu, un tuilage lorsque Claudia Achour quittera son poste administratif. D’autres graines ont pu être récoltées en 2024 grâce à une assurance vie au profit de la SAF, qui a permis de générer un excédent de 37 138 € affecté, par l’AG, en compte de « report à nouveau ». Ceci « fertilise » le terreau financier de la Société.

Le financement de la SAF repose sur trois niveaux de cotisations, auxquels s’est ajouté en 2024 un appel forfaitaire complémentaire de 30 € par membre pour soutenir l’Université libre de science de l’esprit du Goetheanum à hauteur des 90 CHF attendus, soit 93 € par membre. Sur les 1 189 membres, 300 ont versé cette contribution complémentaire. Les 27 240 € qui manquaient auraient pu générer un déficit, qui fut heureusement compensé par une assurance-vie de 63 466 €. Ainsi, s’est dégagé un bénéfice de 37 138 €. L’assemblée a validé la proposition de porter ce résultat au compte report à nouveau, compte ayant pour vocation de financer de futurs projets ou de compenser d’éventuelles pertes comptables.

Pour information, au 31 décembre 2024, les cinq continents comptent 40 730 membres dont 1 189 en France (SAF). Ils ont rassemblé globalement 3 175 000 CHF pour soutenir le travail de l’Université. La part de la France a été de 107 000 CHF, soit 3 % du montant global et 90 CHF par membre.

Le montant des dépenses de la SAF en 2024 rapporté au nombre de membres s’élevait à 246 € répartis comme suit : 93 € pour le Goetheanum (montant attendu), 61 € pour la gestion de la structure associative (administration), 35 € pour le bâtiment, 28 € pour les Nouvelles, 17 € pour le Comité, 9 € pour la vie du siège, 2 € pour la communication, 1 € pour la délégation. Objectif pour 2025 : maintenir le niveau de contribution pour l’Université réalisée en 2024.

4. Rapport des commissions mandatées à la dernière AG à Chatou (octobre 2024)

Commission Statuts

Présidée par Jean Chazarenc, cette commission sur la refonte des statuts a démarré avec Pierre Tabouret et s’est élargie à Isabelle Hibou, Benjamin Rinfray, Hernando Salcedo et dix-huit membres accompagnants. Un compte rendu du travail effectué a été partagé à l’assemblée. Un avant-projet des statuts de la SAF a été édité et est disponible. Depuis l’atelier du 3 mai, Angélique Hubert de Messenia a rejoint le groupe porteur et deux autres membres ont rejoint les accompagnants. Réunie une fois par semaine en visioconférence et lors d’une rencontre physique en Bourgogne, la Commission promeut une vision de la SAF comme lieu de collaboration et d’initiatives fructueuses, intégrant pleinement l’Université. Les échanges avec le Comité ont été décrits comme une « respiration » favorisant une évolution positive.

Commission Éthique

La commission portée par Antoine Dodrimont et Jean Chazarenc s’est concentrée sur la culture de l’éthique individuelle dans la société contemporaine. Y participent Jean Chazarenc, Antoine Dodrimont, Robert Greuillet, Isabelle Hibou, Benjamin Rinfray et Pierre Tabouret (deux membres ont quitté la commission). Elle a exploré des textes de Steiner, notamment le chapitre 9 de Philosophie de la Liberté. Animée par Robert Greuillet, une rencontre du mois de mars, en Bourgogne, a abordé la communication non violente. La commission envisage des publications :

- une brochure sur les éléments fondamentaux de l’éthique selon Rudolf Steiner, prolongée jusqu’au cœur de la vie de l’Université,

- et, à Colmar, une présentation de l’action de Zola dans l’affaire Dreyfus pour illustrer l’éthique en action.

5. Votes

Les votes ont reflété un large consensus : la décharge de la trésorerie et l’affectation du résultat ont été approuvées à l’unanimité, tandis que la décharge du Comité a recueilli cinquante votes favorables et cinq abstentions.

Une discussion a porté sur la notion de décharge, à distinguer de celle d’approbation. Il s’agit pour la communauté des membres de reprendre pour un moment la charge portée par les responsables, sans préjuger d’une approbation.

6. Activités et projets, perspectives et échanges 

Pour le comité

Formation et initiatives pédagogiques (Jean-Philippe Aurand)

La SAF travaille sur plusieurs projets liés à la formation. Deux jours de rencontre sont prévus en juillet au Foyer Michaël. Un programme de formation continue en biodynamie est en cours avec le MABD et Demeter, ainsi qu’un parcours en alternance sur trois ans via un CFA, comprenant six spécialisations. Ce projet, en développement depuis dix-huit mois, est toujours en cours. Une initiative au sein de la SAF vise à créer un groupe de médiation pour anticiper d’éventuels conflits, notamment dans le cadre de la formation professionnelle (détails à préciser). Des stages sont en préparation au Foyer Michaël, avec la possibilité de constituer des groupes autonomes. Jean-Philippe Aurand et d’autres intervenants pourront apporter leur soutien.

Communication et présence digitale (Louis Defèche)

-          Amélioration de la présence en ligne : L’objectif est de renforcer la visibilité de la SAF au-delà des supports papier internes. Cela permettra, par exemple, à un journaliste recherchant des informations sur le centenaire de la mort de Rudolf Steiner de trouver des contenus fiables et non biaisés.

-          Base de données en ligne : Une base de données est en cours de création pour recenser les membres, non-membres et journalistes. Une présence accrue sur les réseaux sociaux est également envisagée, avec un appel à augmenter le nombre de likes pour améliorer la visibilité.

-          Équilibre entre papier et digital : Une réflexion est en cours pour synchroniser les publications papier (Nouvelles) et la communication digitale. Une piste serait de réduire la fréquence des publications papier pour privilégier une meilleure qualité, tout en ouvrant certains supports papier aux non-membres.

-          Site internet : Le site propose désormais un calendrier d’événements plus complet, comme par exemple le projet de la Fondation Paul Coroze. Des conférences au local parisien, organisées par la SAF (avec billetterie en ligne) et des conférences en ligne (six interventions prévues en test pour évaluer l’audience) sont également programmées.

-          Espace membres : Un espace dédié du site permet aux membres et à certains collaborateurs non-membres de créer un profil (public ou privé). Les utilisateurs peuvent rejoindre ou créer des groupes, publics ou privés, avec un administrateur pour gérer les accès. Cet outil, encore en phase de test, sera présenté lors d’un Zoom à venir.

Événements et présence dans l’espace public à Paris (Isabelle Dupin)

-          Centenaire (RS 100) : Inès Morrone et Elio Pettinaroli travaillent sur une exposition évolutive, des conférences et ateliers pour commémorer cet événement en s’appuyant sur le passé pour projeter l’avenir.

-          Forum des associations : Participation prévue le 6 septembre 2025 dans le 6^e arrondissement de Paris. Il s’agit de trouver des personnes qui prendront la responsabilité d’organiser et d’animer cette participation.

-          Portes ouvertes : Des portes ouvertes seront organisées sous la responsabilité d’Élodie Martin le 4 octobre 2025 à Paris (au siège). Par ailleurs d’autres portes ouvertes sont prévues à Sorgues du 14 au 16 novembre, avec la participation de Jean-Michel Florin pour un séminaire de trois jours.

Délégations

Le travail de délégation initié en 2023 se poursuit. C’est notamment le cas pour la rencontre annuelle 2025, portée principalement par les nouvelles générations, avec une décharge prévue par le Comité en fin de processus. Par ailleurs, Alain Tessier prend en charge l’accueil des nouveaux membres. Des bilans d’autres délégations sont prévus.

Pour les deux commissions

Suite à l’AG d’octobre 2024, un mandat d’un an a été défini pour avancer sur les statuts et l’éthique. Les commissions poursuivront leurs travaux avec des rencontres régionales, un congrès envisagé en janvier 2026 et une finalisation des nouveaux statuts projetée pour l’AG 2026. D’autres initiatives de travail sur les statuts sont envisagées, notamment par Chantal et Uwe Werner, qui invitent largement les membres intéressés à se joindre à eux à Colmar pour partager leurs réflexions. Écrit par Uwe Werner et Bodo von Plato, un livre portant sur des Thèses à propos du Congrès de Noël sera bientôt traduit en français, accessible sous forme digitale, éventuellement sous forme de livre.

7. Budget prévisionnel

Le budget prévisionnel s’élève à 319 000 €, soit 12 600 € supplémentaires par rapport à 2024. Il comprend une enveloppe de 10 000 € financée par le compte report à nouveau (excédent 2024) pour dépenses exceptionnelles (évènements liés à Steiner 100, participation aux frais des Commissions Statuts et Éthique, traduction d’une brochure en ligne émanant des sections du Goetheanum) et quelques évolutions de postes budgétaires. D’autres projets n’ont pas été retenus. Le budget maintient l’engagement de la SAF à hauteur de 93 € par membre pour soutenir l’Université libre du Goetheanum. Les dons espérés sont inscrits au budget au même niveau que les années précédentes.

Cotisations : À partir du constat que l’évolution du nombre de membres et du montant des cotisations versées n’est pas proportionnelle, le montant des cotisations attendu en 2024 est reconduit pour le budget 2025. Lors de la rencontre des membres la veille de l’AG et en concertation avec la trésorière, le groupe de travail sur la cotisation propose de faire évoluer la cotisation vers une cotisation indicative unique de 300 €, soit 25 € mensuels, accompagnée d’une évolution préventive de la décote fiscale de 30 € à 100 €.

La proposition a été votée (51 voix favorables, 0 contre et 4 abstentions).

8. Questions et suggestions des membres avant les votes

   Hernando Salcedo souhaite un équilibre entre papier et digital et pose la question des logiciels open source et du respect des données. Louis Defèche précise que les outils actuels respectent la réglementation sur la protection des données. Une visioconférence peut être proposée pour discuter de ce sujet. Le support papier reste d’actualité.

   Benoît Dussolier propose une AG sur une journée avec plus de temps d’échanges.

   Jean Poyard suggère un prévisionnel sur trois années de résultats comptables. Gabrielle Holder souligne la pertinence de la remarque mais indique également la difficulté et la contradiction au vu de la durée statutaire du mandat du Comité, limitée à une année.

   Danuta Kozlik suggère en vue de l’AG 2026 un article dans les Nouvelles sur la décharge et un groupe en ligne pour en discuter.

   Plusieurs interventions ont trait à la nature du compte « report à nouveau » qui intègre le résultat excédentaire en 2024 : ce compte permet l’affectation d’un résultat comptable (excédent ou perte) et laisse l’AG libre d’en disposer sans contrainte administrative, comptable ou fiscale.

   Angélique Hubert de Messenia propose une mini formation pour les nouveaux membres ou non-membres et se porte volontaire pour y contribuer.

   Françoise Poyard demande des points d’étape réguliers sur l’avancement des commissions.

   Benjamin Rinfray souhaite organiser des rencontres régionales pour travailler sur les statuts avant une grande rencontre de trois jours.

   Antoine Dodrimont et la Commission Éthique sont disposés à rencontrer les groupes en France pour travailler sur l’éthique.

   Antoine Grunenberger souligne l’importance de préserver les travaux actuels incluant les supports digitaux pour les membres présents dans les vingt ans à venir.

9. Votes

Cotisation unique et indicative à 300 € : 51 voix favorables, 0 contre, 4 abstentions.

Renouvellement du Comité : 50 voix favorables, 0 contre, 5 abstentions.

10. Annonces d’autres projets et publications

Rencontre en Alsace : Une rencontre pour membres et amis est prévue les 17 et 18 octobre 2025 (information à venir dans les Nouvelles par la Commission Éthique).

Architecture sacrée : Isabelle Val de Flor publie un ouvrage sur l’architecture sacrée, de l’Arche de Noé au Goetheanum, avec un dessin symbolique reliant Noé, Salomon, le Golgotha, les cathédrales, le Graal et le Goetheanum.

Paris, une idée devenue métropole : Olivier Coutris publie chez Triades une étude goethéenne de Paris.

11. Remerciements

Le Comité remercie les délégations, toutes les personnes impliquées, celles et ceux qui contribuent aux projets et publications.

Clôture de l’AG à 13 h.